La cellule de crise chargée de gérer l'accident nucléaire du 11 mars à Fukushima n'a gardé aucun compte-rendu de ses réunions, a-t-on appris lundi d'un responsable japonais.
Ce comité extraordinaire, présidé par le chef de gouvernement d'alors, Naoto Kan, et constitué de ses principaux ministres, n'a conservé aucune trace écrite des discussions ayant abouti à l'évacuation de dizaines de milliers de personnes habitant à quelques kilomètres des réacteurs endommagés.