Le gouvernement japonais était au courant du risque de fusion nucléaire à la centrale de Fukushima dans les heures qui ont suivi le tsunami en mars 2011, mais n'en a pas informé le public.
Un document officiel, publié vendredi, indique qu'au cours d'une réunion en présence des principaux ministres organisée le 11 mars environ quatre heures après le déferlement de vagues géantes contre le site atomique, un participant non identifié a pour la première fois évoqué le risque de fusion.