Les membres du G20 a salué mardi soir l'évolution de la Russie, qui aurait pris ses distances avec le régime syrien de Bachar al-Assad. "La Russie joue son rôle pour permettre la transition", a ainsi affirmé François Hollande, ajoutant que "ceux qui aujourd'hui massacrent leur peuple ne peuvent pas être l'avenir de la Syrie".
Envers la Syrie, "nous avons à renforcer la pression des sanctions, donner une mission aux observateurs différentes de celles d’aujourd’hui, puisque les observateurs se sont retirés et trouver une solution politique, celle du départ d'Assad", a affirmé le président français.
"Des différences persistent sur le déroulement et la forme de la transition mais il est appréciable que le président Poutine ait été explicite sur le fait qu'il ne souhaite pas qu'Assad reste au pouvoir en Syrie", a ajouté le chef du gouvernement britannique David Cameron.