La proposition française d'un "roll-over" de la dette grecque n'a pas été abandonnée et reste l'une des options qui sera discutée dans les prochains jours dans le cadre des travaux sur un second plan d'aide à Athènes impliquant le secteur privé, a déclaré François Baroin.
Le ministre français de l'Economien, qui participait à sa première réunion de l'Eurogroupe, s'est par ailleurs félicité du communiqué "déterminé, volontaire, pragmatique" publié à l'issue de la rencontre. Il a en revanche refusé de dire si la France s'opposait toujours à la perspective d'un "événement de crédit" ou d'un défaut sélectif" en Grèce, comme cela avait été le cas au cours des dernières semaines, précisant qu'aucune option n'était exclue à ce stade.