La Grèce ne tolèrera pas que le parti néo-nazi Aube dorée, dont un membre présumé est accusé du meurtre d'un musicien antifasciste, "mine la vie sociale et la démocratie", a indiqué jeudi le Premier ministre grec Antonis Samaras.
"Le gouvernement est déterminé à ne pas permettre aux descendants des nazis d'empoisonner la vie sociale, de commettre des crimes, de provoquer et de miner les fondements du pays qui a fait naître la démocratie", a dit Antonis Samaras dans un message télévisé.