En grande partie occulté par les mesures du plan de rigueur applicables dès 2011, le plan d'aide à la Grèce, mis au point par le sommet de la zone euro du 21 juillet, devrait être validé sans encombre cette semaine par le Parlement français.
Si ce second plan d'aide à Athènes, d'un montant de 159 milliards d'euros, se heurte à de fortes résistances dans plusieurs pays de l'UE, il n'en est pas de même en France, qui sera donc, sauf surprise de dernière minute, le premier Etat à donner son aval.