L’institut de la finance internationale (IIF), qui représente les grandes banques du monde, a indiqué mardi qu'il souhaitait faire avancer les négociations sur l'effacement d'une partie de la dette grecque, malgré l'annonce d'un référendum sur le sujet en Grèce.
Dans un communiqué, l'IIF a "réaffirmé son intention d'aller de l'avant avec l'accord trouvé le 26-27 octobre à Bruxelles avec les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro pour réduire de 50% le montant nominal des obligations d'Etat grecques détenues par le secteur privé".