Les dirigeants des principaux partis politiques et la presse locale ont dénoncé samedi la suggestion de la chancelière allemande Angela Merkel de la tenue d'un référendum en Grèce sur le maintien du pays dans la zone euro, en parallèle des législatives prévues le 17 juin.
"Le peuple grec n'a pas besoin d'un référendum pour prouver son choix pour l'euro, dont il a déjà payé le coût en faisant des sacrifices", a indiqué Antonis Samaras, chef de la droite Nouvelle-Démocratie, arrivé en tête du scrutin du 6 mai sans majorité.