Les salafistes jihadistes sont un "danger" pour la Tunisie, et après l'attaque de l'ambassade américaine l'Etat tunisien doit "serrer la vis", a déclaré Rached Ghannouchi, le chef du parti islamiste au pouvoir Ennahda.
"A chaque fois que des partis, ou des groupes outrepassent d'une façon flagrante la liberté il faut être ferme, serrer la vis et insister sur l'ordre", a-t-il dit. "Ces gens là représentent un danger non seulement pour Ennahda mais pour les libertés publiques dans le pays et pour sa sécurité".