Le chef de la diplomatie allemande Guido Westerwelle a rejeté lundi toute discussion sur de possibles frappes militaires contre l'Iran en raison de son programme nucléaire controversé, alors que la Grande-Bretagne insiste pour que toutes les options soient envisagées.
"Des sanctions plus sévères sont inévitable si l'Iran continue à refuser de coopérer avec l'AIEA", l'Agence internationale pour l'énergie atomique, mais "nous ne participons pas à la discussion sur une intervention militaire, nous estimons que telles discussions sont contreproductives et les rejetons", a-t-il dit à Bruxelles.