"Les sanctions ne peuvent fondamentalement pas régler la question" du programme nucléaire iranien, a déclaré jeudi un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, alors que l'Iran est de nouveau menacé de représailles.
Le porte-parole était interrogé après la publication d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui accuse Téhéran, dont Pékin est l'allié, d'avoir cherché à se doter de l'arme atomique.