"La communauté internationale ne peut pas tout régler par les armes", a assuré vendredi Nicolas Sarkozy à propos de l'Iran, en marge du G20. Il a répété néanmoins que si Israël était menacée dans son existence, la France ne resterait pas "les bras croisés". Le président français a précisé que les moyens dont disposait la communauté internationale étaient d'abord le dialogue, puis les sanctions.
Il a une nouvelle fois déclaré que la France condamnait fermment le non respect par l'Iran des règles internationales, qui résulte de sa "volonté obsessionnelle" d'accéder au nucléaire militaire en violatin de toutes les conventions.