Le Peuple de la liberté (PDL), la formation de Silvio Berlusconi, a laissé entendre mardi qu'elle n'était pas hostile par principe à la nomination éventuelle de Matteo Renzi, l'étoile montante du centre gauche, au poste de président du Conseil italien. Le jeune (38 ans) maire de Florence, qui appartient à l'aile centriste du Parti démocrate (PD), ne faisait pas partie des candidats mentionnés jusqu'à lundi soir, lorsque son nom a été avancé par l'un des dirigeants du PD, Matteo Orfini.