L'actuel chef du gouvernement technique italien, Mario Monti, n'a pas exclu jeudi à New York la possibilité de diriger le gouvernement qui doit sortir des urnes lors des législatives du printemps prochain, une option qu'il écartait fermement jusqu'à présent.
"Avant toute chose, il serait normal qu'après les élections, les partis politiques soient capables de présenter un de leurs membres, et pas moi, comme Premier ministre", a-t-il dit lors d'un événement organisé par le Council on Foreign Relations (CFR), avant d'ajouter : "si l'on me posait la question (d'un nouveau mandat, ndlr), j'examinerais la situation".