Le gouvernement italien de Mario Monti a adopté dimanche une cure anti-crise d'une rigueur draconienne pour tenter de mettre l'Italie à l'abri de la crise de la dette, ont rapporté les médias italiens.
Ce plan chiffré à 24 milliards par les médias, dont Mario Monti a avancé l'adoption à dimanche au lieu de lundi face à l'urgence de la situation, prévoirait, selon les premiers éléments ayant filtré, des coupes dans les dépenses publiques, une augmentation de la fiscalité notamment sur l'immobilier ainsi qu'une réforme des retraites vivement dénoncée par les syndicats.