L'alliance a validé les plans dressés par ses militaires pour contribuer à la zone d'interdiction de vol dans l'espace aérien libyen mais n'a toutefois pas encore décidé à ce stade de les mettre en application.
S'inquiétant des possibles victimes parmi la population civile libyenne, Ankara avait retardé dimanche l'adoption de ces plans, considérant que le bombardement de la Libye par la coalition depuis le 19 mars avait modifié "les paramètres" d'une intervention éventuelle de l'Otan. La Turquie a donc levé ses réserves.