La Grèce a dit à l'Allemagne et à la France mercredi qu'elle était déterminée à remplir toutes les obligations prises avec ses créanciers internationaux dans le cadre du plan de sauvetage de l'Union européenne et du Fonds monétaire international.
"Malgré les récentes rumeurs, toutes les parties ont souligné que la Grèce continuait de faire partie de la zone euro", a précisé Ilias Mossialos, porte-parole du gouvernement grec, dans un communiqué diffusé à la suite d'une conversation téléphonique de 25 minutes entre le président français Nicolas Sarkozy, la chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre grec George Papandreou.