"Nous voulons rester Européens. Nous souhaitons que la majorité des capitaux investis en Grèce viennent d'Europe", a déclaré lundi le vice-Premier ministre grec, considérant qu'une décote(haircut) sur la dette grecque affecterait les banques grecques et les fonds de pension.
"Les gouvernements grecs n'ont jusqu'à présent jamais discuté de la possibilité d'un haircut", a dit Theodoros Pangalos à des journalistes à Paris. "Je ne crois ni à la possibilité de sortir de la zone euro ni à l'exclusion de qui que ce soit de la zone euro", a-t-il également souligné.