Au Venezuela, comme en Argentine ou en Colombie, une victime du scandale des implants mammaires PIP, c'est souvent une main qui tend un certificat médical ou un décolleté photographié en plan serré. Thailys Freites de Valcárcel, elle, a décidé d'avancer à visage découvert. Sur Facebook, derrière son (vrai) nom, elle fédère désormais plus de 3.000 femmes vénézuéliennes. Avec la détermination farouche d'une Liberté guidant le petit peuple des victimes PIP. Pour en savoir plus, cliquez ici.