Des chercheurs du Centre d'études sur le stress humain (CESH), institut affilié à l'Université de Montréal., ont constaté que les qui affichent publiquement leur orientation sexuelle sont nettement moins stressés que ceux qui ne le font pas. "Le fait de révéler son homosexualité ou bisexualité peut être bénéfique pour la santé lorsque la politique sociale est tolérante et facilite le processus de divulgation", estime l'auteur principal de l'étude, Robert-Paul Juster.
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