Les syndicats des journalistes grecs, regroupant environ 7.000 salariés, ont entamé jeudi deux grèves de 48 heures, qui doivent priver le pays d'information nationale pendant quatre jours, jusqu'à lundi, pour réclamer le maintien de leurs salaires et emplois, frappés par la crise.
Ce mouvement, sans précédent depuis une grande grève en 1976, est également suivi par les techniciens et employés du secteur, et doit concerner tous les médias nationaux de la presse écrite et électronique.