Le projet est inimaginable en France. Il donne pourtant à réfléchir. Trois détenus portoricains, emprisonnés à Guyama, au sud de Porto Rico, ont obtenu du très officiel Département des peines et de la réhabilitation le droit de tweeter pour raconter leur vie derrière les barreaux, et plus précisément « la cruauté de la prison », raconte la presse locale. Objectif : mettre en garde de futurs jeunes délinquants. Pour en savoir plus, cliquez ici.