Des hommes armés cernaient toujours lundi des ministères à Tripoli, malgré l'adoption d'une loi controversée qu'ils réclamaient, a indiqué un leader de la protestation, affirmant que le siège des ministères se poursuivrait jusqu'à la chute du gouvernement d'Ali Zeidan.
"Nous sommes déterminés à poursuivre notre mouvement jusqu'au départ d'Ali Zeidan", a indiqué Oussama Kaabar, après que des miliciens aient affirmé dimanche qu'ils se retireraient des abords des ministères après l'adoption de la loi excluant les anciens collaborateurs du régime déchu.