"La victoire ou la mort", a lancé vendredi à ses partisans Moustafa Abdeldjeïl, le président du Conseil national libyen, qui représente l'opposition dans l'est du pays. Cet ancien ministre de la Justice de Kadhafi a mis en garde les insurgés contre la présence éventuelle d'agents du régime infiltrés dans leurs rangs et demandé l'arrêt des destructions de bâtiments. La foule a répondu à son discours en scandant : "La Libye est libre, Kadhafi doit partir".