Terrés dans un hôtel de Tripoli proche de la résidence du colonel libyen Mouammar Kadhafi, une trentaine de journalistes internationaux s'apprêtaient lundi à passer une seconde nuit privés d'eau et d'électricité, et surveillés par des soldats pro-régime. Un journaliste de l'AFP sur place a décrit une ambiance tendue avec des soldats pro-régime entrant et sortant de l'hôtel Rixos, séparé de la résidence de Kadhafi par un espace boisé.