Ahmad Bani, un porte-parole des rebelles libyens, a nié catégoriquement, face à à des journalistes à Benghazi, que des éléments d'Al-Qaïda se trouvent dans les rangs des combattants contre le régime du dirigeant Mouammar Kadhafi comme l'a laissé entendre un chef militaire de l'Otan. Dans la même conférence de presse, ce porte-parole a affirmé que le retrait mercredi des rebelles de certaines villes de la côte est s'expliquait par le fait qu'ils étaient confrontés à une force formée de milliers de membres de la garde républicaine tchadienne.