Le secrétaire britannique au Foreign Office, William Hague, s'est félicité jeudi de la volonté affichée par les dirigeants birmans de poursuivre les réformes et de remettre en liberté davantage de prisonniers politiques.
La visite de 48 heures en Birmanie du chef de la diplomatie britannique est la première d'un ministre des Affaires étrangères de l'ancienne puissance coloniale depuis 1955. Elle a été rendue possible par le transfert du pouvoir, l'an dernier, à un gouvernement civil - bien que soutenu par l'armée et composé pour une bonne part d'anciens chefs militaires -, et par une série de réformes politiques et économiques engagées depuis lors.