Les Maliens ont commencé à voter dimanche pour le second tour des législatives, au lendemain d'un attentat meurtrier qui a tué deux Casques bleus sénégalais de l'ONU à Kidal, dans le nord-est, a constaté un journaliste de l'AFP.
Très peu d'électeurs étaient présents à l'ouverture des bureaux de vote à Bamako, a-t-on constaté, ce qui fait craindre un faible taux de participation à ce scrutin qui doit parachever le retour à l'ordre constitutionnel, après le coup d'Etat de mars 2012 qui avait plongé le Mali dans le chaos.