La chancelière Angela Merkel a réitéré jeudi son refus de toute croissance tirée par l'endettement estimant qu'une telle politique "nous ramènerait au début de la crise", lors d'un discours devant le parlement allemand. "Une croissance par des réformes de structures est importante et nécessaire (...) Une croissance à crédit nous ramènerait au début de la crise. Nous ne le voulons pas, nous ne le ferons pas", a-t-elle déclaré, suscitant des applaudissements dans l'assemblée.