Le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia, a affirmé jeudi que l'Algérie n'avait "rien à cacher" sur l'assassinat en 1996 des sept moines français de Tibéhirine, suite à la demande par Paris d'une commission rogatoire internationale.
"L'Algérie n'a rien à cacher, l'Algérie a des conventions de coopération judiciaire avec la France, et elle a toujours coopéré sur ce dossier avec la France", a déclaré M. Ouyahia répondant aux juges français Marc Trévidic et Nathalie Poux.