Denis Crabières, président du Syndicat national des guides de haute montagne (SNGM) a estimé lundi matin sur Europe 1 qu'il était "trop tôt pour tirer des conclusions" sur les raisons de l'avalanche au Népal qui a coûté la vie à neuf personnes, dont quatre Français. "On est encore sur les opérations de recherches. Il faudrait déjà des conditions météo favorables pour déterminer ce qu'il s'est passé", a-t-il ajouté.
Le président du SNGM avoue avoir encore "quelques incertitudes sur le sort de certains disparus. On en saura sans doute plus dans la journée même si les chances que le bilan évolue favorablement sont minces".