Un contentieux entre Areva et une société britannique d'assurance nuit aux négociations avec les ravisseurs des salariés du groupe nucléaire français enlevés il y a un an au Niger, a affirmé Le Monde dans son édition datée dimanche-lundi.
La société d'assurance Hiscox, qui assure Areva contre le risque d'enlèvement, entend dénoncer son contrat avec le groupe français au motif que le versement d'argent en contrepartie de la libération des otages reviendrait à financer le terrorisme, indique le quotidien.