Les deux attaques perpétrées il y a une semaine en Norvège sont "une attaque contre la démocratie", a affirmé le chef du gouvernement norvégien Jens Stoltenberg, lors d'une commémoration devant des membres du parti travailliste, cible du massacre. Après avoir brandi des roses, le symbole du parti devenu aussi depuis une semaine celui des victimes, l'assistance, qui comprenait plusieurs centaines de personnes, dont de nombreux cadres, a observé une minute de silence.