Invitée sur Europe 1 vendredi, Anne Lauvergeon a dit qu'elle avait "bon espoir de pouvoir libérer le plus vite possible" les quatre otages, dont Daniel Larribe, au Niger. A la question d'une éventuelle rançon, la présidente du directoire d'Areva a botté en touche : "ce n'est pas le sujet", a-t-elle estimé. "Tous nos efforts sont fixés sur le fait de les libérer", ce qui requiert de la "discrétion", a-t-elle encore ajouté.