Les sanctions visant l'Iran à cause de la poursuite de son programme nucléaire doivent être "durcies" après la réunion de Moscou entre l'Iran et le groupe "5+1", qui a constaté "un écart important" des positions, a déclaré mardi le chef de la diplomatie française Laurent Fabius.
"La pression doit désormais s'accroître sur l'Iran avec la pleine application le 1er juillet par l'Union européenne de l'embargo pétrolier décidé en janvier dernier. Les sanctions continueront d'être durcies tant que l'Iran refusera de négocier sérieusement", a dit le ministre dans un communiqué.