Le roi Hamad de Bahreïn a pointé du doigt la désunion de l'opposition et expliqué que c'est la menace d'une ingérence iranienne qui avait motivé son appel à des troupes de pays étrangers pour mater le mouvement de contestation de l'hiver dernier.
"Dans un certain sens, il n'y a pas d''opposition' à Bahreïn, car ce terme sous-entend un bloc uni autour de mêmes valeurs", lit-on dans des extraits d'une interview accordée par le souverain au magazine allemand Der Spiegel.