L'Egypte doit discuter des "orientations" politiques de son futur chef d'Etat, a affirmé mardi le vice-président Omar Souleimane. "Il s'agit de penser à l'avenir de l'Egypte, et à celui qui va mener (le pays) à l'avenir, non pas à sa personne, mais à ses qualifications et ses orientations" politiques, un message qui semble viser les jeunes et les Frères musulmans, première force d'opposition.