"Le délai, entre l'arrivée de la police à l'hôtel et l'extraction de DSK à l'aéroport est très très bref pour réfléchir suffisamment", a estimé l'avocat Daniel Soulez Larivière, mercredi matin sur Europe 1. "Ca me paraît très très bref par rapport aux résultats. En trois heures, on décide du destin d'un homme avant de le juger" a-t-il poursuivi, ajoutant que "ce qui est certain c'est qu'il y a eu une précipitation et une absence de réflexion".
Daniel Soulez Larivière a également estimé que l'avocat de la plaignante, Kenneth Thompson, "essaie de transformer un problème d'individus, en un problème général". "Ca consiste à introduire un maximum d'émotion dans une situation dans laquelle la justice est là pour mettre de la raison". "C'est pas forcément une bonne chose", a-t-il ajouté.