Amnesty International a dénoncé samedi la loi spéciale adoptée au Québec, encadrant étroitement le droit de manifester, car elle y voit une violation du droit à la liberté d'expression et de rassemblement.
"La loi 78 est un outrage aux libertés fondamentales qui dépasse largement les limites admissibles au regard du droit provincial, national ou international relatif aux droits humains", a affirmé Javier Zúñiga, conseiller spécial pour Amnesty International dans un communiqué mis en ligne sur le site internet de l'ONG.