L'un des trois syndicats étudiants du Québec à la tête du mouvement de protestation contre la hausse des droits de scolarité voulue par le gouvernement a annoncé lundi son refus de se soumettre à la loi spéciale votée juste avant le week-end, selon un communiqué de l'organisation.
Il s'agit du syndicat la CLASSE (Coalition large de l'association pour une solidarité syndicale étudiante), le plus radical des trois.