Dans un courrier commun diffusé jeudi soir, Nicolas Sarkozy et David Cameron somment "Kadhafi et sa clique de partir", "afin de mettre fin à des souffrances supplémentaires du peuple libyen". Les deux dirigeants indiquent par ailleurs que le CNT, le conseil de la rébellion libyenne, est un "interlocuteur politique valable". "Nous devrions envoyer le signal politique clair que nous considérons le Conseil comme un interlocuteur politique valable, et une voix importante pour le peuple libyen dans cette phase", est-il écrit dans le courrier commun.