Les autorités espagnoles ont présenté leurs excuses lundi à la Bolivie pour l'incident lié à l'affaire Edward Snowden qui a contraint le président Evo Morales à faire escale à Vienne, le 3 juillet.
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Selon La Paz, l'Espagne, la France, le Portugal et l'Italie, qui soupçonnaient la présence à bord de l'informaticien à l'origine des révélations sur les programmes de surveillance américains, ont interdit à l'avion du chef de l'Etat d'emprunter leur espace aérien.
Evo Morales regagnait la Bolivie après une conférence internationale à Moscou, où Edward Snowden, recherché aux Etats-Unis pour espionnage, est bloqué depuis le 23 juin. Son avion a été fouillé en vain par les autorités autrichiennes.