La Maison-Blanche a défendu mardi son bilan en matière de protection des "lanceurs d'alertes", mais a refusé de dire si Edward Snowden, l'ancien consultant du renseignement à l'origine de fuites sur un vaste système de surveillance, pouvait bénéficier de ce statut.
Pour la seconde journée consécutive, le porte-parole du président Barack Obama, Jay Carney, a refusé de commenter sur le fond cette affaire aux retentissements internationaux, alors que Edward Snowden, dernièrement vu à Hong Kong, est apparemment introuvable.