Une Cour d'appel de Mogadiscio a relaxé dimanche une Somalienne initialement condamnée à un an de prison pour avoir affirmé avoir été violée par des membres des forces de sécurité et a réduit de moitié la même peine prononcée contre un journaliste auquel elle s'était confiée.
"Après avoir rassemblé les preuves, la Cour a estimé que le journaliste avait trompé sa victime pour obtenir une interview, la Cour ordonne la relaxe de la femme alors que le journaliste devra passer six mois en prison pour outrage aux institutions", a annoncé le juge Hassan Mohamed Ali.