Le président tunisien Moncef Marzouki a estimé que le régime de Damas était "fini" et que Bachar al-Assad finirait par partir "mort ou vivant", dans un entretien publié mardi dans le quotidien pan-arabe Al-Hayat.
"A mon avis, cet homme (Assad) n'est pas prêt à faire de concessions" et "les Russes, les Chinois et les Iraniens doivent se rendre à l'évidence qu'il est fini", a-t-il déclaré, conseillant à Moscou, Pékin et Téhéran, qui soutiennent le chef d'Etat syrien, à "le convaincre de quitter le pouvoir".