Valérie Trierweiler, a présidé jeudi à Genève un panel en parallèle à la session du Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU pour appeler à un engagement fort de la communauté internationale à aider les femmes violées en République démocratique du Congo.
"J'espère faire sortir du silence ce drame, un drame dont on ne parle pas, qui dure depuis plus de vingt ans, 500. 000 femmes ont été violées", a-t-elle déclaré. La Première dame française intervenait comme "ambassadrice" de la Fondation France Libertés, co-organisatrice de l'évènement avec la FIDH, la Fédération Internationale des Droits de l'Homme. Pour France-Libertés il s'agit de soutenir les différentes mesures et initiatives déjà prises par la communauté internationale face à ce drame qui a fait du viol et des mutilations des femmes "une arme de guerre" dans les conflits qui ravagent l'est de la RDC.