Le Japon a estimé mercredi qu'il était trop tôt pour discuter du remplacement de Dominique Strauss-Kahn au Fonds monétaire international (FMI), alors que des pays jugent que le directeur général doit démissionner après son inculpation pour crime sexuel aux Etats-Unis.
"Sur ce point, je crois qu'il est prématuré de même envisager (la question du remplacement de Dominique Strauss-Khan à la tête du FMI)", a déclaré aux journalistes le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, lorsqu'on lui a demandé si un éventuel successeur devait venir d'Europe à nouveau, d'Asie ou d'une autre partie le monde.