La criminalisation de l'atteinte au sacré ne sera pas inscrite dans la future Constitution tunisienne, a déclaré le président de l'Assemblée nationale constituante, Mustapha Ben Jaafar, au sujet de cette revendication clé des islamistes qui dirigent le gouvernement.
"Il n'y aura pas de criminalisation (ndlr: de l'atteinte au sacré), bien sûr", a-t-il dit. "Ce n'est pas parce que nous sommes d'accord avec les atteintes au sacré, mais parce que le sacré est très très difficile à définir", a-t-il expliqué.