Le président tunisien Moncef Marzouki a insisté samedi sur la nécessité de soigner "les blessures du passé" de l'histoire tunisienne, tout en insistant sur la nécessité de solder les comptes avant toute réconciliation.
"Nous avons foi en la justice transitionnelle et non en une justice vengeresse. Mais une justice qui oublie de solder les comptes n'est pas une justice", a déclaré Moncef Marzouki à l'ouverture d'une conférence nationale sur la justice transitionnelle.