Le ministère tunisien de l'Intérieur a annoncé samedi avoir refusé de légaliser cinq formations politiques, dont trois partis religieux. Il a par contre donné son feu vert à trois nouveaux partis, portant à 34 le nombre des groupes politiques légaux en Tunisie, dont 26 partis ont obtenu l'autorisation depuis la chute et la fuite en Arabie saoudite du président Zine El Abidine Ben Ali, le 14 janvier.